Case Study: Renaude!

case study Jun 03, 2023
Case study

Aujourd’hui je vais te raconter l’histoire de Renaude, de son petit nom fictif. 

 

Renaude avait l’impression qu’on la prenait pour "mère Térèsa". Elle travaillait fort, on lui en demandait toujours plus, elle était fatiguée, elle ne se sentait pas respectée ni appréciée. Elle en faisait encore plus que ce qu’exigé en espérant que ce serait assez. Elle voulait prévenir les demandes pour enfin pouvoir se reposer. Elle n’avait plus de plaisir à agir ainsi mais elle ne savait pas comment s’arrêter.

En fait, elle ne se rendait pas vraiment compte de ce qui se passait. Elle était sur le pilote automatique.

 

Renaude pensait que si elle faisait une demande, ce serait refusé. Elle pensait que si elle s’écoutait et en faisait moins, elle aurait l’air lâche. De toute façon, elle était beaucoup trop gênée d’appeler à l’aide car on se fiait sur elle. C’était le phare de la famille, la référence au travail, un modèle de bonté. 

 

Renaude souffrait aujourd’hui de ne pas avoir appris à prendre soin d’elle. Elle était coincée entre sa fantaisie intime d'arrêter tout ce qu'elle faisait, de se reposer, et son intérêt de ne pas négliger son travail ni décevoir son réseau. 

 

Renaude survivait. Elle était en mode action-réaction. Elle ne décidait plus rien… selon elle

 

 

Ne plus rien décider, c’est une décision.

 

 

Renaude, dans l’outil CÉPAR, sa Circonstance est qu’elle est une femme, conjointe, mère d’un garçon de 9 ans, occupant un travail à raison de 45 heures par semaine et parfois plus s’il y a des urgences.

 

Elle a observé plusieurs de ses pensées, le P de l’outil CÉPAR. L’une d’elles était que « Ça ne vaut pas la peine de demander ».  

 

Ceci engendrait comme Émotion de l’impuissance.  

 

Quand Renaude se sentait impuissante car elle pensait que ça ne valait pas la peine de demander, ses actions le reflétaient. C’est le A de l’outil CÉPAR. Elle ruminait, elle ne s’écoutait pas, elle ne définissait pas ses limites, elle ne demandait rien, elle se plaignait, elle ne se reposait pas, elle s’épuisait, elle buvait parfois un petit verre de plus le soir pour se récompenser, elle prenait un café de plus le matin pour s’encourager, elle se demandait ce qu’elle pourrait faire d’autre pour se libérer de ce qui la tannait dans sa réalité qu’elle répétait de façon insatisfaisante.

 

Renaude, quand elle pensait que « Ça ne vaut pas la peine de demander », son R de l’outil CÉPAR, le Résultat, c’est qu’elle ne se donnait pas la peine de demander! Elle se faisait vivre beaucoup d’autres peines en pensant ainsi. Elle courait à sa perte et continuait d’être "mère Térèsa". 

 

C’est important d’être conscient de nos pensées car ça nous donne du pouvoir sur notre vie. Au contraire de décevoir, ça nous rend plaisant ET en contrôle!  

 

On peut choisir nos meilleures idées.

 

C’est la spirale du bonheur!

 

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