- As-tu tendance à laisser ton pouvoir aux autres?
- Penses-tu souvent que tu ne peux rien faire pour changer les choses?
- As-tu l'impression que tes sentiments dépendent des réactions de ton entourage?
- Attends-tu que tes idées soient acceptées pour y croire?
- Retardes-tu l'accomplissement de tes projets parce que personne n'embarque quand tu en parles?
L'histoire de Romy!
Romy est une professionnelle. Elle est courageuse. Elle est fiable. Elle est vaillante. Elle est belle. Elle est forte... selon ses collèges, son copain, ses amies, ses professeurs...
Romy a un problème et elle n'est pas encore pleinement consciente qu'elle a tout pour le régler!
Elle est découragée du monde: La société, le système. Elle voit plusieurs incongruités. Elle se questionne à savoir si les gens utilisent encore leur jugement ou dirigent selon des protocoles, sans tenir compte de la réalité concrète.
Elle se demande parfois si elle est à la bonne place. Peut-être qu'une autre carrière serait mieux? En même temps, elle a étudié longtemps et a des engagements financiers. Il y a des attentes envers elle. Elle a une expertise. Ça serait gros de recommencer à zéro, sans garantie.
Romy s'épuise. Elle se sent impuissante. Elle a l'impression de ne jamais en faire assez et pourtant rationnellement elle sait qu'elle fait ce qu'elle doit faire. Elle perd son plaisir. Elle est aigrie. Elle passe beaucoup de temps sur des groupes à voir d'autres personnes qui vivent les mêmes déceptions. Ils projettent tous ensemble leurs malaises sur les dirigeants, les autres quarts de travail, les autres professionnels, le chum qui ne comprend pas, le gouvernement qui n'agit pas, la récession, le manque de temps, le manque d'argent.
C'est la route du désespoir...
Comment être responsable de notre bonheur si toutes les circonstances s'alignent pour nous décourager?
En fait, Romy apprend à son cerveau les voies pour ne voir que ce qu'elle ne veut voir. Elle lui apprend à faire abstraction du reste ou à voir le positif comme inatteignable. La vie, c'est 50-50. Il y a du bon. Il y a du mauvais. Quand on apprend à être impuissant, le 50% positif devient une envie plutôt qu'une réalité accessible. C'est comme un mauvais sort qu'on se jette!
Pourtant, Romy choisit chaque jour sa carrière. Choisir et rechoisir, quand on décide de nos raisons et qu'on se rappelle qu'on aime ces raisons, c'est puissant. Elle peut prendre sa carrière avec les défis à relever ou en se sentant victime de tout ce qui pèse lourd. Elle peut voir tout ce qu'elle fait de bon. Elle peut observer tout ce qui n'a pas d'allure et se compter chanceuse d'avoir encore son bon jugement pour s'en rendre compte.
Donner son pouvoir à l'extérieur, ça peut devenir lourd de conséquences sur la qualité de vie et l'estime de soi. En plus, quand ça devient appris et intégré, ça se transfert dans toutes nos sphères de vie: carrière, relations, loisirs. Ça veut dire que même si on change notre environnement, nos circonstances, nos amis, notre groupe, notre emploi... notre vision va nous suivre.
En travaillant notre vision, en faisant du développement personnel, on peut voir les choses comme une bonne pièce de théâtre plutôt que comme un film d'horreur désagréable et répugnant. Clique ici si tu veux apprendre à le faire pour toi!
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